Les gros mots… Un serpent de mer de la chanson, évidemment. Serge Gainsbourg, Requiem pour un con, très classe ; Jacques Dutronc, Merde in France, très lourd… Mais là, je sens comme un relâchement général, bien sympathique avant la reprise en main, ne vous inquiétez pas. D’abord avec le coup médiatique raté du chanteur de la Nouvelle Star, Steve Estatof, qui a fait croire que sa chanson 1977 ne passait pas à la radio parce qu’il dit salope, pouffiasse et putain de ta mère dedans. Mais pas du tout, c’est parce que tout le monde s’en fout.
C’est pareil pour TTC, le groupe qui fait frémir la critique frémissante, avec leur album Bâtards Sensibles (trop fort). Une excroissance dance post-french touch grasse comme Eminem sur le hip hop français. Bien fendard, vraiment un très bon album pour finir 2004. Et très grossiers, les garçons. Suce moi bien pétasse, prends des initiatives étant la moins imagée de leurs élucubrations.
Heureux en amour,
Malheureux au jeu,
Et comme j’ai fourré ta copine tu seras malheureux aux deux.
Alors, on écoute Roudoudou et le chapelet d’injures proféré par Jenny de Vivo. Extirpé de 1998 : ils avaient de l’avance… C’est frais !
On curse words and swearing. Fortunately, we don’t have compulsory Explicit lyrics advisory stickers on CDs here… So, French examples. First one : French Pop Idol-like Steve Estatof. He has tried to create a scandal with a song, 1977, in which he sings salope (bitch), pouffiasse (whore) and putain de ta mère (motherfucker). But nobody cares.
The second case is TTC, brilliant French hip hop act. Somewhere between Eminem and Daft Punk, they express sexual fantasies and insane provocations in very funny lyrics. The album is called Bâtards Sensibles. Very good, very rude !
Back from ’98, the track of the day is another very impolite one, en anglais dans le texte :
You pisshead
You tied ass
(…)
I love you so, baby
Jenny de Vivo is the bad girl. Go on, fucker !
Roudoudou featuring Jenny de Vivo – Chanson d’amour spécial